Les valorisations élevées des actions (surtout américaines) justifient des prévisions de rendement faibles. Une répétition des récents rendements élevés des actions et des obligations semble peu probable.
Les valorisations élevées des actions (surtout américaines) justifient des prévisions de rendement faibles. Une répétition des récents rendements élevés des actions et des obligations semble peu probable.