Nous recommandons fortement les ETFs physiques, même si dans quelques cas exceptionnels, les ETFs synthétiques peuvent être mieux appropriés dans certaines jursidisctions.
Category: Gestion de portefeuille
Les règles de base des marchés resteront valables pour tout modèle d’investissement : l’importance de la diversification, le retour des rendements vers la moyenne et la difficulté battre le marché.
En période de taux d’intérêt négatifs, les produits structurés attirent les investisseurs avec des rendements comparativement plus élevés. Mais il y a aussi la menace de pertes douloureuses.
Le fonds souverain norvégien suit les principes de transparence, de faibles coûts de gestion et d’exigence éthique élevée.
Le modèle canadien préconise des processus solides, une approche internalisée et des investissements couvrant les risques d’inflation tels que les actions des producteurs de matières premières, l’immobilier et les infrastructures.
Les valorisations élevées des actions (surtout américaines) justifient des prévisions de rendement faibles. Une répétition des récents rendements élevés des actions et des obligations semble peu probable.
En opposition au modèle de Yale, l’approche passive a produit les meilleurs rendements au cours de la dernière décennie et devrait rester la meilleure stratégie d’investissement à l’avenir pour les investisseurs individuels.
La grande majorité des investisseurs institutionnels auraient mieux fait de gérer leurs fonds de manière passive avec des frais négligeables.
Une approche de facteurs peut déboucher sur des coûts de transaction excessifs, une augmentation du risque de liquidité et un excès de transactions de dérivés complexes.
Les facteurs reflètent différents risques et les investisseurs percevront une prime pour supporter les risques correspondant en s’y exposant